La spiruline est une excellente source d’oligo-éléments, de calories et de nutriments indispensables au bon maintien de l’organisme humain. Elle a d’énormes vertus préventives et curatives pour la santé humaine. Alors comment cette petite algue bleue agit-elle dans le corps humain pour lui permettre de se renforcer ? Tout le secret du fonctionnement de la spiruline dans le corps humain, c’est dans cet article. Ce lien Faut-il prendre de la spiruline vous informera encore plus sur comment prendre ce super aliment pour mieux bénéficier de ses avantages.
La spiruline, une algue qui protège l’organisme et le système nerveux
Ce site nous explique – Présente sur terre depuis plus de 3 millions d’année et désignée première source de protéine par l’OMS, la spiruline a été cultivée par les aztèques et les incas, en premier. Ces peuples l’utilisaient comme aliment complet. En plus d’être la première source de protéine, elle contient 30 fois plus de fer qu’une gerbe de blé, 30 fois plus de béta-carotène que la carotte. Elle est reconnue aujourd’hui par plusieurs gouvernements comme une parfaite alliée pour la croissance, la détoxification et la reminéralisation profonde. Elle est également considérée comme un aliment complet recommandée spécialement aux sportifs de haut niveau pour lutter contre la fatigue, le stress et autres. Sa valeur nutritionnelle très élevée permet d’éviter les carences alimentaires. La spiruline contient également une grande quantité de chlorophylle ayant pour rôle de purifier et de protéger l’organisme. Elle dispose aussi de nombreux autres éléments qui participent au bon fonctionnement du corps humain et du système nerveux. Elle permet d’éviter les carences alimentaires et est donc un très bon accompagnateur des régimes minceur car elle permet de contrôler la faim. C’est également un aliment qui est actuellement utilisé dans le monde pour lutter contre la malnutrition. La spiruline est actuellement cultivée en Chine, en Inde, en Thaïlande, en Californie et au Mexique pour ses vertus nutritionnelles.
